Il y a 7 mois, à la fin de l’été, blonde platine et encore bronzée, je vous parlais de ma dernière acquisition : le Nike+ FuelBand ! [ Retrouvez l’article ici ]
Depuis 8 mois ce bracelet n’a pas quitté mon poignet et vous êtes nombreuses à me questionner dès qu’il apparait sur Instagram. Je me suis donc dit qu’il allait falloir en reparler et vous donner toutes mes impressions avec 8 mois de recul.
Je ne reviendrai cependant pas sur ce qu’est le Nike+ Fuelband et ses fonctionnalités. Je vous laisse retrouver toutes les info dans le premier article.
Je peux totalement et sans aucun doute vous dire que « Oui, le Nike FuelBand à changer ma vie active ». Ahhhh les grands mots ! Mais c’est vrai, je me bouge vraiment plus les fesses de manière générale.
Hors de question de finir la journée sans atteindre mon objectif. Je cherche à me dépasser de semaine en semaine et de jour en jour.
Ce n’est cependant pas magique ! Je suis sportive à la base. J’aime les challenges. Ce bracelet me motive mais je suis motivée à la base. Dans mon entourage je suis une des rares à avoir vraiment été conquise par le produit, du moins à l’utiliser au quotidien. Il ne fait pas de magie et il ne vous envoie pas de décharge électrique quand il est l’heure de se bouger un peu.
Pour moi c’est un vrai plus, c’est comme l’application Nike Running. En vrai on a pas besoin d’eux mais au final ils rendent la pratique du sport vraiment plus fun et ils nous force à nous dépasser ! Si vous aimez les challenges vous l’adorerez et vous vous dépasserez pour toujours être dans le vert.
On ne va pas se mentir, dans tous les milieux : amour, travail… sport, on a la fâcheuse tendance à se reposer sur nos acquis.
En amour : faire preuve d’imagination et surprendre l’autre.
Au travail : être créative et se fixer des objectifs.
Au sport : chercher plus loin ! Et c’est la que le bracelet devient une motivation. Marcher plus, se bouger plus car on sait si on s’est bougé plus ou moins qu’hier. Plus d’excuse ! Les fuels sont la… ou pas et on prend réellement conscience de notre activité sur une journée.
– La prise de conscience : Il y a des jours où je ne sais pas vraiment si j’ai marché un peu… moyen… beaucoup… Si je me suis activée ou pas vraiment. Grâce au bracelet je peux le savoir. Je travaille à mon compte, autrement dit je passe beaucoup de temps assise. Si je n’ai pas de rendez-vous pro, lors d’une journée boulot mon activité se limite à aller me servir du thé.
J’aime voir combien de pas je peux faire en une journée, en un running ou lors de mes séjours touristiques.
– La motivation : Nike c’est une communauté. Nike nous pousse à nous dépasser. Pour les Fuels c’est les trophées. Plus on va loin plus on se dépasse plus on obtient des trophées. C’est juste une image sur son iPhone mais petit à petit mons étagère virtuelle se remplie et ça motive. Lorsque mon iPhone s’illumine car j’ai atteint un nouveau record un petit sourire s’affiche sur mon visage.
– Le suivi : L’application permet de gérer son activité tout au long de la journée. On se rend compte que c’est simple de faire de se bouger au quotidien pour atteindre son objectif, il suffit de trouver des petites astuces : marcher, faire du vélo. Je ne prends jamais les transports en commun (une fois tous les 3 mois… quand je dois prendre le train).
Je marche et fait du vélo tout le temps. Grâce à google map je calcule mes itinéraires et j’essaye de trouver ceux qui me feront dépenser le plus de fuels et c’est facile. Se bouger ce n’est pas forcement faire un gros running, c’est aussi bouger un peu tout le temps. Grâce au bracelet on en prend conscience.
– Le jeu : Quand les fuels deviennent un jeu. C’est surtout le cas quand je pars en vacances avec des amies. A Londres ou à Paris, elles m’ont toutes chaque jour demandé le nombre de pas qu’on faisait. C’est aussi ça les fuels. Se rendre compte qu’on bouge, atteindre ses objectif tout en s’amusant.
– Les activités statiques : Lorsqu’on fait du vélo ou de la musculation l’activité n’est pas compté. On doit activer le mode session et je trouve qu’il est moins juste et beaucoup plus approximatif.
– Les bugs de synchronisation : Ils sont assez rares mais mes sessions sont souvent comptés en double. Une ou deux fois les synchronisations ne se sont pas faites (notamment cette semaine). C’est assez frustrant pour moi qui aime suivre mes résultats et qui cherche à me dépasser et faire mieux chaque mois.
Le point « je sais pas ou te mettre » :
– L’esthétique : Mimi mais pas féminin… En septembre dernier je vous disais que je ne pensais pas le prendre par exemple pour sortir… En vrai je ne le quitte jamais. En sorti, la nuit… Il est toujours à mon poignet et je ne me pose plus la question.
Bonjour Anne-Laure,
Ce bracelet m'aurait vachement intéressé mais j'ai vu que Nike avait arrêté la vente et qu'il restait que des bracelets M/L et XL sur leur site.. Par hasard n'aurais – tu pas une idée où je pourrais le trouver en taille S ?
Car d'après le guide des tailles le M c'est bon mais j'ai peur que ce soit grand quand même//
Tu trouve que par rapport à un podomètre (moins cher!) il y a beaucoup plus d'intérêts?
C'est vraiment bien de faire ce petit point 8 mois après! Je me demande quand même, au final, par rapport à Nike Running ça change quoi pendant la course? Ou par rapport à un podomètre?
J'ai fait l'acquisition de ce bracelet aussi et ça me motivait réellement. Le gros point négatif pour moi est qu'il n'est pas adapté à la natation alors que j'en fais 2 fois par semaine. Côté esthétique, il ne me gène pas. Par contre, j'ai une taille de poignet un peu "batarde". Le petit est trop petit et le moyen un peu grand. Mais tant pis, je suis bien avec.
Je l'ai retiré depuis que je suis enceinte (il me créait trop de frustration) mais je compte bien le remettre dès que je pourrais.